Des nouvelles "du front". Elitefootblog à Orlando.

Blaise Collin, notre spécialiste NCAA a la chance d'être à Orlando durant cette période de fêtes et de Bowls. Il a pu participer aux conférences de presse d'avant match du Capital One Bowl de demain et à celle d'après match du Champs Sport Bowl de mardi. Voici les questions qu'il a pu poser à ces occasions:

Conférence de presse d'avant match du Capital One Bowl entre Penn State et LSU:

Blaise Collin à Galen Hall le coordinateur offensif de Penn State: Pouvez vous nous donner des nouvelles de Chaz Powell (WR)? Participera t il au match? Pensez vous impliquer Devon Smith (Wr freshman) au cours du match pour préparer la saison prochaine?

HALL: Chaz est de retour. Il s'est blessé à l'épaule contre Indiana. Il a loupé ce match et celui contre Michigan State game, mais il est à nouveau à 100% maintenant. Devon Smith s'entraine avec nous. il est l'un des deux ou trois joueurs offensifs qui compteront dans ce match.

Blaise Collin à SEAN LEE (LB Penn State) et DARRYL CLARK (QB Penn state): L'actuelle "classe sénior" (les dernières années) a été recruté après de mauvaises saisons pour Penn State et en quatre ans vous avez gagné 50 matchs et pouvez avoir une troisième saison de suite à 11 victoires. Qu'en pensez vous?

CLARK: Ce que je veux souligner c'est que quand on a été recruté par Penn State nous savions parfaitement quelle était la situation et comment c'était difficile à l'époque pour Penn State. Nous voulions vraiment être une classe qui allait changer cela. Et je pense que c'est ce que nous avons fait. On a mis ça de côté et on ne s'est pas occupé de ce qui c'était passé lors des deux saisons avant notre arrivée. On s'est lié on a travaillé dur, concentré sur l'objectif. Quand on a eu notre chance on a fait ce que l'on pouvait pour que les choses changent et je crois que l'on a fait du bon boulot et ça concerne l'ensemble de notre classe.

LEE (à gauche sur la photo): Tout a vraiment commencé en 2004. l faut souligner ce qu'on fait des gars comme Michael Robinson et Paul Posluszny quand ils ont gagné deux gros matchs en fin de saison ça a vraiment changé le "momentum". On pouvait s'en rendre compte durant l'été 2005 quand on est arrivé . Ils avait en eux ce refus de perdre et on sentait qu'ils feraient tout ce qui était possible pour gagner ces matchs et remettre Penn State "sur la carte". Je crois qu'ils nous ont transmis cet état d'esprit et que nous continuons à le transmettre et c'est pour cela que l'on réussit.

Blaise Collin à Gary Crowton (coordinateur offensif de LSU): Est ce qu'avoir un QB si jeune change quelque chose pour vous? Qu'attendez vous de la défense de Penn State?

Gary Crowton:
On est bien préparé à affronter leur blitzes. On a du faire face à énormément de blitzes en fin de saison depuis la blessure à la cheville de Jordan (Jefferson). Penn State n'est pas un spécialiste du blitz mais on s'attend à ce qu'ils en fassent beaucoup après ce que l'on a subit en fin de saison régulière. Mais ils devraient tout de même être plus en couverture classique que les dernières defenses que l'on a rencontré car c'est plus leur jeu. Si ils viennent nous mettre la pression on a préparé de quoi les contrer on verra comment cela se passe au fur et à mesure du match.

Conférence de presse d'après match du Champs Sports Bowl entre Miami et Wisconsin:


Blaise Collin au head coach de Wisconsin Bret Bielema: Coach, à part deux grosses courses Miami a été assez efficace contre votre jeu de course. En gros ils ont empéché les courses de plus de trois yards. Vous êtes vous ajusté and avez vous décidé d'utiliser plus vos Tight ends? Lance (Kendricks) a accumulé 128 yards, soit presque la moitié de tout ce qu'il a gagné cette saison. C'était prévu avant le match ou c'était un ajustement en cours de match?

COACH BIELEMA: Oui! (rires). Quand on a du mal à courir, on lance le ballon!. C'est ce que l'on a fait toute cette saison. Merci pour vos stats. Nous aimerions toujours être bons au sol. Miami a fait du bon boulot pour nous stopper. Ce qu'il faut que vous compreniez c'est qu'à Wisconsin en attaque on a une mentalité de boxer. Quand il faut y aller, frapper au corps, user l'adversaire, on y va. A l'usure, coup après coup ça finit par payer et on arrive à gagner et c'est ce que l'on a été capables de faire lors de ce match.

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